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Nos sportifs : 

Les personnes présentant une déficience intellectuelle

Elles ont en commun un « retard mental » qui peut se traduire par une capacité plus limitée d’apprentissage, un rythme d’adaptation plus lent et des difficultés à faire face aux exigences de la vie quotidienne.

La déficience intellectuelle ne peut pas « être guérie », mais le fonctionnement général de la personne peut être amélioré si elle reçoit un soutien adapté et bénéficie d’un environnement riche en stimulations, tel celui d’une pratique sportive.

Les personnes présentant une maladie mentale

Elles présentent des troubles de l’esprit qui peuvent se traduire par un comportement perturbé de façon momentanée ou durable. Ces troubles sont susceptibles d’être guéris ou réduits avec une thérapie adaptée.

Les maladies mentales (schizophrénie, dépression, etc...) affectent une personne sur trois selon l’Organisation Mondiale de la Santé. Une personne présentant une maladie mentale peut pratiquer les APS (Activités Physiques et Sportives) comme tout le monde avec un encadrement attentif et structuré.

Les personnes présentant des troubles du comportement et de la conduite (TCC) (si déficience intellectuelle associée).

Les TCC sont des perturbations de la conduite, qui n’appartiennent ni à la maladie mentale, ni à un déficit intellectuel.

Du fait d’une émotion excessive et non contrôlée, ils peuvent entraîner une humeur instable, des difficultés relationnelles et des difficultés d’apprentissage. Les personnes présentant des TCC nécessitent le recours à un accompagnement personnalisé et à des actions conjuguées dont la pratique sportive.